Comment devenir un défenseur efficace du développement durable ?
En tant que responsable Actions durables internationales, Hamish Chamberlayne, promeut la durabilité au quotidien. Il faut faire preuve d’une véritable sincérité et afficher une vraie volonté de participer à la résolution des problèmes du monde réel pour relever sérieusement les défis environnementaux et sociaux.
2 minutes de lecture
En tant qu'observateur attentif de l’actualité, des rapports publiés et autres informations sur le développement durable, Hamish Chamberlayne est bien conscient des problèmes environnementaux et sociaux du monde qui l'entoure. Pourtant, il a la chance de pouvoir faire quelque chose de positif pour imposer de véritables changements.
En tant que responsable de l'ISR chez Janus Henderson Investors et gérant de la stratégie Global Sustainable Equity de la société (1,3 milliard USD d’encours), Hamish Chamberlayne peut exercer une influence via le processus d'investissement du portefeuille en dirigeant ses investissements vers des sociétés qui jouent un rôle positif dans la transformation de l'économie mondiale – et en évitant celles qui causent des dommages. Il ne s’agit pas d’une nouvelle perspective pour la stratégie, car elle fonctionne de cette manière depuis 1991.
Être défenseur du développement durable n’impose d’avoir une relation conflictuelle avec les entreprises. Établir des principes d'investissement clairs peut permettre de nouer des partenariats avec des entreprises, dans le cadre desquels Hamish Chamberlayne et son équipe peuvent travailler avec les équipes de direction pour améliorer leurs pratiques et leur processus en matière de durabilité.
Faire en sorte que les initiatives d’engagement de l’équipe Actions durables internationales se traduisent par des émissions carbone nettes nulles, par exemple.
L'investissement à faible intensité carbone étant au cœur de sa philosophie, l'équipe s'est jointe à la « Net Zero Carbon 10 initiative » (Projet Zéro Carbone 10). Cette initiative fixe des objectifs ambitieux mais réalisables en matière de réduction des émissions de carbone, afin de prévenir les conséquences désastreuses et irréversibles du changement climatique.
Cela permet aux gérants de mieux aligner leurs politiques d'investissement sur l'exigence de neutralité carbone, plutôt que sur la simple réduction des émissions. Cette approche se focalise sur des émissions nettes nulles, sur la base des émissions de scope 1, 2 et 3.
Depuis, l'équipe a constaté que cette approche a conduit à des discussions plus ciblées avec les entreprises, qui ont entamé leur transformation vers des activités sobres en carbone sans pour autant viser la neutralité carbone d'ici à 2030. Ces initiatives d’engagement ont reçu un accueil favorable et ont renforcé nos relations et notre dialogue avec les entreprises.
Ce genre d’exercice n'est pas facile. Pour avoir un impact positif sur l'économie au sens large, il ne faut pas se contenter d’analyser les entreprises. Initier un dialogue et collaborer avec les entreprises, les collègues et même parfois les concurrents peut contribuer à obtenir des résultats positifs pour les populations et la planète.
*A fin Juin 2019
Janus Henderson investors
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- Les actions/parts peuvent perdre rapidement de la valeur et impliquent généralement des niveaux de risques plus élevés que les obligations ou les instruments du marché monétaire. La valeur de votre placement peut par conséquent chuter.
- Le Fonds adopte une approche d’investissement durable, ce qui peut entraîner une surpondération et/ou une sous-pondération dans certains secteurs et donc une performance différente de celle des fonds qui ont un objectif similaire, mais qui n’intègrent pas de critères d’investissement durable dans la sélection des titres.
- Le Fonds peut avoir recours à des instruments dérivés dans le but de réduire le risque ou de gérer le portefeuille plus efficacement. Toutefois, cela introduit d’autres risques, et en particulier celui qu’une contrepartie à un instrument dérivé ne respecte pas ses obligations contractuelles.
- Si le Fonds détient des actifs dans des devises autres que la devise de référence du Fonds ou si vous investissez dans une catégorie d’actions/de parts d’une devise différente de celle du Fonds (sauf si elle est «couverte»), la valeur de votre investissement peut être soumise aux variations des taux de change.
- Lorsque le Fonds, ou une catégorie d’actions/de parts couverte, vise à atténuer les fluctuations de change d’une devise par rapport à la devise de référence, la stratégie elle-même peut créer un impact positif ou négatif relativement à la valeur du Fonds en raison des différences de taux d’intérêt à court terme entre les devises.
- Les titres du Fonds peuvent devenir difficiles à valoriser ou à céder au prix ou au moment désiré, surtout dans des conditions de marché extrêmes où les prix des actifs peuvent chuter, ce qui augmente le risque de pertes sur investissements.
- Le Fonds peut perdre de l’argent si une contrepartie avec laquelle le Fonds négocie ne veut ou ne peut plus honorer ses obligations, ou en raison d’un échec ou d’un retard dans les processus opérationnels ou de la défaillance d’un fournisseur tiers.
- Le Fonds a adopté un style d'investissement centré sur la croissance, ce qui crée un biais en faveur de certains types de sociétés. De ce fait, il peut afficher des performances nettement inférieures ou supérieures à celles du marché en général.
Specific risks
- Les actions/parts peuvent perdre rapidement de la valeur et impliquent généralement des niveaux de risques plus élevés que les obligations ou les instruments du marché monétaire. La valeur de votre placement peut par conséquent chuter.
- Le Fonds adopte une approche d’investissement durable, ce qui peut entraîner une surpondération et/ou une sous-pondération dans certains secteurs et donc une performance différente de celle des fonds qui ont un objectif similaire, mais qui n’intègrent pas de critères d’investissement durable dans la sélection des titres.
- Le Fonds peut avoir recours à des instruments dérivés dans le but de réduire le risque ou de gérer le portefeuille plus efficacement. Toutefois, cela introduit d’autres risques, et en particulier celui qu’une contrepartie à un instrument dérivé ne respecte pas ses obligations contractuelles.
- Si le Fonds détient des actifs dans des devises autres que la devise de référence du Fonds ou si vous investissez dans une catégorie d’actions/de parts d’une devise différente de celle du Fonds (sauf si elle est «couverte»), la valeur de votre investissement peut être soumise aux variations des taux de change.
- Lorsque le Fonds, ou une catégorie d’actions/de parts couverte, vise à atténuer les fluctuations de change d’une devise par rapport à la devise de référence, la stratégie elle-même peut créer un impact positif ou négatif relativement à la valeur du Fonds en raison des différences de taux d’intérêt à court terme entre les devises.
- Les titres du Fonds peuvent devenir difficiles à valoriser ou à céder au prix ou au moment désiré, surtout dans des conditions de marché extrêmes où les prix des actifs peuvent chuter, ce qui augmente le risque de pertes sur investissements.
- Le Fonds peut perdre de l’argent si une contrepartie avec laquelle le Fonds négocie ne veut ou ne peut plus honorer ses obligations, ou en raison d’un échec ou d’un retard dans les processus opérationnels ou de la défaillance d’un fournisseur tiers.
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