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La Commission européenne a-t-elle fait un grand pas en faveur de la titrisation à l'échelle de l’UE ?

Les gérants Ian Bettney et Robert Schramm-Fuchs donnent un aperçu des réformes proposées par l'UE en matière de titrisation et se demandent si le cadre réglementaire simplifié va suffisamment loin pour donner un second souffle à ce marché.

Ian Bettney

Gestionnaire de portefeuille


Robert Schramm-Fuchs

Gestionnaire de portefeuille


Le 3 juillet 2025
7 minutes de lecture

Principaux points à retenir :​

  • La Commission européenne (CE) a présenté un ensemble de mesures visant à simplifier le cadre de l’UE en matière de titrisations, et ce dans le but d’améliorer l’investissement dans l’économie, tout en préservant la stabilité financière.
  • Les changements proposés pourraient constituer un tournant significatif pour le marché de la titrisation dans l’UE. Ces changements visent à débloquer l’épargne dormante et à augmenter le financement de l’investissement et du développement, apportant ainsi un soutien potentiel comparable aux investissements majeurs annoncés dans les infrastructures.
  • Si le secteur financier salue l’équilibre entre la surveillance réglementaire et le soutien à l’investissement visant à stimuler la croissance, ses représentants s’inquiètent d’une complexité et de coûts accrus, de nouvelles modifications étant déjà annoncées et le calendrier risquant de déraper.

La Commission européenne (CE) a récemment annoncé un ensemble de mesures très attendues visant à simplifier le cadre de l’UE en matière de titrisations et à revitaliser le marché, tout en continuant à préserver la stabilité financière. L’idée est que les réglementations existantes peuvent être améliorées et simplifiées, ce qui contribuerait à flécher davantage d’investissements vers l’économie réelle.

Le cadre initial du règlement de l'UE sur la titrisation (SECR) de 2019 a introduit un ensemble de règles visant à améliorer les protections pour les investisseurs, en garantissant la transparence et la stabilité du marché de la dette titrisée. Celle-ci regroupe des actifs individuels, tels que des dettes de carte de crédit, des prêts immobiliers ou d'autres formes d'emprunt, pour les transformer en véhicules collectifs qui peuvent ensuite être négociés.

Même si un solide cadre réglementaire est sans doute nécessaire, les contraintes qui accompagnent ces réglementations ont été identifiées au sein du secteur comme un obstacle à la croissance, contribuant finalement à une contraction significative du marché européen de la dette titrisée, et conduisant à un contraste frappant avec la croissance observée aux États-Unis.

Les représentants du secteur financier plaident depuis longtemps en faveur d’une réforme et, après examen, la Commission européenne a identifié certains aspects des règles existantes qui entravent selon elle le développement du marché et imposent des coûts opérationnels inutiles. Cette réforme prévoit une réduction du ratio de couverture de liquidité (LCR) qui détermine le volume d’actifs liquides que les banques émettrices doivent détenir pour répondre à leurs besoins à court terme[i].

Les changements réglementaires ciblés visent à remédier à ces lacunes et à stimuler le marché de la titrisation dans l’UE, contribuant ainsi à stimuler la croissance économique, à encourager l’innovation technologique et des entreprises, et à créer à terme davantage d’emplois dans l'ensemble du continent.

Ces changements proposés ont des ramifications dans toute l'Europe, tant pour les marchés actions que pour celui de la dette titrisée. Voici quelques réflexions de nos gérants à ce sujet :

Actions européennes (Robert Schramm-Fuchs)

Les réformes réglementaires annoncées (et programmées) représentent un tournant potentiellement significatif pour le marché de la titrisation dans l’UE.

En outre, le Comité Mixte, un forum conçu pour renforcer la coopération entre les différentes Autorités Européennes de Surveillance (AES) du secteur financier, a publié sa propre évaluation visant à débloquer l'utilisation des titrisations pour aider à stimuler la croissance économique (en accordant une attention particulière à la préservation de la stabilité financière).

La relance du marché de la titrisation de l'UE a été soulignée comme essentielle pour atteindre l'objectif de l'Union de l'Épargne et de l'Investissement (UEI), une initiative de la Commission européenne visant à améliorer l'intégration et l'efficacité de l'écosystème financier pour les citoyens et les ménages de l'UE. Le rapport se concentre sur les recommandations visant à optimiser le fonctionnement du SECR, en améliorant la clarté de son champ juridictionnel.

Qu'est-ce que tout cela implique pour les actions européennes ?

Si l’Europe est toujours « riche en épargne », elle est depuis longtemps « pauvre en investissements ». Plusieurs initiatives sont en cours pour changer cela, afin de libérer l’énorme volume d’épargne existante « piégée » et de la flécher vers des utilisations productives. Ces initiatives sont sous le contrôle total de l'Europe, et les énormes pressions politiques externes (et internes) conduisent finalement à des mesures qui vont dans le bon sens, ce qui n'est tout simplement pas encore intégré dans la valorisation des actions européennes.

Comme nous l’avons déjà noté, les prêts bancaires couvrent environ 80 % de l'ensemble des besoins de financement européens, tandis que le marché de l'occasion (titrisations) qui permet de recycler du capital, ou de vendre des prêts collectivisés, s’est rétréci en Europe. En 2010, alors que le PIB de l’Union européenne s’élevait à 13 100 milliards d’euros, le marché européen de la titrisation représentait environ 2 000 milliards d’euros. En 2023, alors que le PIB de l'Union européenne atteignait 17 100 milliards d'euros, le marché de la titrisation s'était réduit à 1 200 milliards d'euros, même si environ la moitié de ce montant était conservée par les banques émettrices via des opérations de pensions livrées auprès des banques centrales, et n'était donc pas distribuée aux investisseurs.

Le simple retour du marché à sa taille nominale (non ajustée de l’inflation) de 2010 représenterait un stimulus de 800 milliards d’euros pour le PIB européen (soit environ 4 % du PIB selon nos estimations). Ce soutien serait bien plus important que le plan d'infrastructures récemment annoncé par l'Allemagne. Il pourrait se répercuter sur la croissance beaucoup plus rapidement que le plan de relance allemand, compte tenu des 10 années nécessaires au déploiement complet de ce dernier.

Titrisation européenne (Ian Bettney)

Du point de vue de la communauté des investisseurs en titrisations, les mesures proposées par la Commission européenne ouvrent des perspectives prometteuses pour le marché. Ces mesures établissent un équilibre entre le maintien de la surveillance réglementaire et la promotion de la croissance, ce que de nombreux acteurs du secteur ont salué. Toutefois, même si les propositions sont de nature à lever certaines des limitations existantes, elles ne parviennent pas à apporter les changements radicaux que certains avaient anticipés.

La Commission souligne les avantages plus larges de la titrisation, non seulement pour les banques mais aussi pour les investisseurs à la recherche d’opportunités de grande qualité. Cela correspond aux objectifs de l'UEI, qui donne la priorité à la croissance économique plutôt qu'aux intérêts des seules institutions bancaires. Ce plan reflète une conception du marché sous forme d'un écosystème, visant un recalibrage plutôt qu’une déréglementation, même si sa dépendance à une surveillance améliorée pourrait s'avérer trop optimiste.

Principaux points positifs :

  • Simplified due diligence: The proposals reduce mandatory due diligence requirements, adopting a principle-based approach that lowers standards for senior tranches and repeat transactions. Specific obligations for EU-supervised issuers are removed, easing processes for market participants.
  • Simplified reporting: By making 35% of existing reporting templates voluntary, the need for new IT expenditures for originators is reduced, and the elimination of loan-by-loan disclosure requirements for certain highly granular pools is a welcome change.

Principales préoccupations :

  • Complexité de la sensibilité au risque : l’introduction de catégories sensibles au risque, telles que les tranches senior « résilientes », ajoute de la complexité au cadre existant, ce qui pourrait compliquer les exigences prudentielles.
  • Conséquences financières en matière de reporting : l’élargissement de la définition des titrisations publiques et l’exigence de reportings complets peuvent augmenter les coûts et créer des disparités avec d’autres secteurs du marché, ce qui pourrait détourner les transactions de la titrisation publique.
  • Sanctions élargies : des inquiétudes émergent quant à la portée plus large et à la sévérité accrue des sanctions liées au respect des obligations de due diligence, notamment du fait de la suppression de la possibilité de déléguer cette responsabilité.

En attente de clarification :

  • Assureurs européens : les modifications associées à Solvency II n'ont pas encore été annoncées mais devraient suivre. Cette large base d’investisseurs européens est actuellement très peu exposée aux actifs titrisés en raison des exigences en capital excessivement pénalisantes. À l'opposé, les assureurs américains bénéficient du traitement moins strict appliqué aux actifs titrisés et sont donc beaucoup plus exposés.

En résumé, l'entrée en vigueur de ces propositions sera probablement repoussée, potentiellement pas avant mi-2027, après une longue période de consultation et de négociation.  Bien que ces évolutions constituent une étape positive vers la revitalisation du marché européen de la titrisation, elles ne sont peut-être pas suffisamment ambitieuses dans leur forme actuelle pour favoriser une reprise significative du marché ou pour faire progresser de manière décisive les objectifs de l'UEI.

 

[i] Cette réforme prévoit une réduction du ratio de couverture de liquidité (LCR) qui détermine le volume d’actifs liquides que les banques émettrices doivent détenir pour répondre à leurs besoins à court terme.

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Glossaire :

Banque émettrice : entité qui initie ou crée les actifs sous-jacents qui sont combinés et vendus sous forme de titres, comme une banque qui émet des crédits immobiliers ou une société financière qui propose des prêts pour l'achat de voitures.  

Titrisation publique : désigne une opération de titrisation qui implique l'émission de titres offerts au public et généralement négociés sur un marché réglementé ou une bourse. Ce type de titrisations se caractérise par l’émission de titres accessibles à un large éventail d’investisseurs, notamment les investisseurs institutionnels et particuliers.

Pension livrée (« repo ») : prêt à court terme, utilisant une garantie, dans lequel une partie vend des titres à une autre avec l'engagement de les racheter ultérieurement à un prix prédéterminé. La différence entre le prix de vente et le prix de rachat représente l’intérêt (ou taux « repo ») payé pour le prêt.

Financement de pensions livrées : les prêteurs doivent gérer leurs positions de trésorerie pour couvrir leurs obligations en matière de financement de pensions livrées, et ce afin de s'assurer qu'ils disposent de fonds suffisants pour racheter les titres au prix et au moment convenus.

Tranches : dans le domaine de la titrisation, les tranches font référence aux différentes strates ou classes de titres émises, chacune ayant des caractéristiques distinctes, variant principalement par leur niveau de risque, leur priorité dans la structure de remboursement et leurs taux d'intérêt.  Les tranches senior sont les tranches les mieux notées, assorties généralement d'un rating AAA. Elles ont la priorité sur les flux de trésorerie des actifs sous-jacents, ce qui en fait les moins risquées. En raison de leur risque plus faible, elles offrent généralement des rendements inférieurs à ceux des autres tranches.

 

Les opinions exprimées sont celles de l'auteur au moment de la publication et peuvent différer de celles d'autres personnes/équipes de Janus Henderson Investors. Les références faites à des titres individuels ne constituent pas une recommandation d'achat, de vente ou de détention d'un titre, d'une stratégie d'investissement ou d'un secteur de marché, et ne doivent pas être considérées comme rentables. Janus Henderson Investors, son conseiller affilié ou ses employés peuvent avoir une position dans les titres mentionnés.

 

Les performances passées ne préjugent pas des résultats futurs. Toutes les données de performance tiennent compte du revenu, des gains et des pertes en capital mais n'incluent pas les frais récurrents ou les autres dépenses du fonds.

 

Les informations contenues dans cet article ne constituent pas une recommandation d'investissement.

 

Il n'y a aucune garantie que les tendances passées se poursuivront ou que les prévisions se réaliseront.

 

Communication Publicitaire.

 

Glossaire

 

 

 

Informations importantes :

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Le Janus Henderson Horizon Fund (le « Fonds ») est une SICAV de droit luxembourgeois immatriculée le 30 mai 1985, gérée par Janus Henderson Investors Europe S.A. Janus Henderson Investors Europe S.A. peut décider de mettre fin aux modalités de commercialisation de cet Organisme de Placement Collectif conformément à la réglementation en vigueur. Ce document est une communication promotionnelle. Veuillez vous reporter au prospectus de l'OPCVM et au DICI avant de prendre toute décision finale d'investissement.
    Risques spécifiques
  • L’émetteur d’une obligation (ou d’un instrument du marché monétaire) peut devenir incapable ou refuser de payer les intérêts ou de rembourser le capital au Fonds. Si tel est le cas ou si le marché considère cette éventualité comme pertinente, la valeur de l’obligation chutera.
  • Lorsque les taux d’intérêt augmentent (ou baissent), le cours des différents titres sera influencé de différentes manières. Plus particulièrement, la valeur des obligations baisse généralement lorsque les taux d’intérêt augmentent. Ce risque est généralement corrélé à l’échéance de l’investissement dans l’obligation.
  • Certaines obligations (obligations remboursables par anticipation) donnent à leurs émetteurs le droit de rembourser le capital par anticipation ou de prolonger l’échéance. Les émetteurs peuvent exercer ces droits lorsqu’ils sont favorables, ce qui peut avoir une incidence sur la valeur du fonds.
  • Le Fonds peut avoir recours à des instruments dérivés dans le but de réaliser ses objectifs d’investissement. Cela peut générer un « effet de levier », qui peut amplifier les résultats d’un investissement, et les gains ou les pertes pour le Fonds peuvent être supérieurs au coût de l’instrument dérivé. Les instruments dérivés présentent également d’autres risques, et en particulier celui qu’une contrepartie à un instrument dérivé ne respecte pas ses obligations contractuelles.
  • Lorsque le Fonds, ou une catégorie d’actions/de parts couverte, vise à atténuer les fluctuations de change d’une devise par rapport à la devise de référence, la stratégie elle-même peut créer un impact positif ou négatif relativement à la valeur du Fonds en raison des différences de taux d’intérêt à court terme entre les devises.
  • Les titres du Fonds peuvent devenir difficiles à valoriser ou à céder au prix ou au moment désiré, surtout dans des conditions de marché extrêmes où les prix des actifs peuvent chuter, ce qui augmente le risque de pertes sur investissements.
  • Le Fonds peut perdre de l’argent si une contrepartie avec laquelle le Fonds négocié ne veut ou ne peut plus honorer ses obligations, ou en raison d’un échec ou d’un retard dans les processus opérationnels ou de la défaillance d’un fournisseur tiers.
Janus Henderson Capital Funds Plc est un OPCVM établi conformément à la législation irlandaise, avec une responsabilité séparée entre les fonds. Nous rappelons aux investisseurs qu'ils doivent uniquement baser leurs décisions d'investissement sur le Prospectus le plus récent qui contient les informations relatives aux frais, aux charges et aux risques, qui peut être obtenu auprès de tous les distributeurs et agents payeurs/agent de facilités il est important de bien en prendre connaissance. Ce document est une communication promotionnelle. Veuillez vous reporter au prospectus de l'OPCVM et au DICI avant de prendre toute décision finale d'investissement. Il est possible qu'un investissement dans le fonds ne convienne pas à l'ensemble des investisseurs et qu'il ne soit pas accessible à tous les investisseurs dans toutes les juridictions; il n'est pas disponible pour les personnes des Etats-Unis. Les performances passées ne préjugent pas des performances futures. Le taux de rendement peut varier et la valeur principale d'un investissement peut fluctuer en fonction de l'évolution des taux de change et du marché. Il est possible que la valeur des actions, lors de leur cession, soit supérieure ou inférieure à leur coût d'origine. Ce document n'est pas une sollicitation pour la vente d'actions et aucune des informations qu'il contient n'est destinée à être un conseil d'investissement. Janus Henderson Investors Europe S.A. peut décider de mettre fin aux modalités de commercialisation de cet Organisme de Placement Collectif conformément à la réglementation en vigueur.
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Le Janus Henderson Fund (le « Fonds ») est une SICAV de droit luxembourgeois immatriculée le 26 septembre 2000, gérée par Janus Henderson Investors Europe S.A. Janus Henderson Investors Europe S.A. peut décider de mettre fin aux modalités de commercialisation de cet Organisme de Placement Collectif conformément à la réglementation en vigueur. Ce document est une communication promotionnelle. Veuillez vous reporter au prospectus de l'OPCVM et au DICI avant de prendre toute décision finale d'investissement.
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Le Janus Henderson Horizon Fund (le « Fonds ») est une SICAV de droit luxembourgeois immatriculée le 30 mai 1985, gérée par Janus Henderson Investors Europe S.A. Janus Henderson Investors Europe S.A. peut décider de mettre fin aux modalités de commercialisation de cet Organisme de Placement Collectif conformément à la réglementation en vigueur. Ce document est une communication promotionnelle. Veuillez vous reporter au prospectus de l'OPCVM et au DICI avant de prendre toute décision finale d'investissement.
    Risques spécifiques
  • Les actions/parts peuvent perdre rapidement de la valeur et impliquent généralement des niveaux de risques plus élevés que les obligations ou les instruments du marché monétaire. La valeur de votre placement peut par conséquent chuter.
  • Un Fonds fortement exposé à une région géographique ou à un pays donné implique des risques plus importants qu’un Fonds plus largement diversifié.
  • Le Fonds peut avoir recours à des instruments dérivés dans le but de réaliser ses objectifs d’investissement. Cela peut générer un « effet de levier », qui peut amplifier les résultats d’un investissement, et les gains ou les pertes pour le Fonds peuvent être supérieurs au coût de l’instrument dérivé. Les instruments dérivés présentent également d’autres risques, et en particulier celui qu’une contrepartie à un instrument dérivé ne respecte pas ses obligations contractuelles.
  • Si le Fonds détient des actifs dans des devises autres que la devise de référence du Fonds ou si vous investissez dans une catégorie d’actions/de parts d’une devise différente de celle du Fonds (sauf si elle est « couverte »), la valeur de votre investissement peut être soumise aux variations des taux de change.
  • Lorsque le Fonds, ou une catégorie d’actions/de parts couverte, vise à atténuer les fluctuations de change d’une devise par rapport à la devise de référence, la stratégie elle-même peut créer un impact positif ou négatif relativement à la valeur du Fonds en raison des différences de taux d’intérêt à court terme entre les devises.
  • Les titres du Fonds peuvent devenir difficiles à valoriser ou à céder au prix ou au moment désiré, surtout dans des conditions de marché extrêmes où les prix des actifs peuvent chuter, ce qui augmente le risque de pertes sur investissements.
  • Le Fonds implique un niveau élevé d'activités d'achat et de vente et encourage des frais de transaction plus élevés qu'un fonds qui se négocie moins fréquemment. Ces frais de transaction viennent s'ajouter aux Frais courants du Fonds.
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